Le confinement a permis au moins une chose positive : une baisse spectaculaire de la pollution. Comme quoi, tout est possible quand tout le monde s’y met et même en un temps record !
Ce bienfait est en partie dû à la diminution drastique des trajets pendulaires, entre la maison et le boulot, et par conséquent l’augmentation du télétravail. Moins de transports c’est moins d’émissions de gaz à effet de serre et une amélioration de la qualité de l’air, surtout dans les grandes villes.
Cependant, l’effet rebond, parce qu’il y en a un, c’est une augmentation de plus de 50% du trafic d’internet en France[1] dès la première semaine de confinement et en particulier une hausse des vidéos en ligne. Le numérique représente 4%[2] des émissions mondiales de gaz à effet de serre dont 47% dues aux équipements, 53% dues aux centres de données et infrastructures réseaux.
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